Pression et dépression

« Archimède, j’ai l’impression que tu te noies dans tes théorèmes! »

Merlin l’enchanteur

La dépression, en météo, c’est une zone de basse pression.

Etrangement, en psychiatrie, c’est un peu pareil : une fois sur deux, une dépression survient après une période de stress prolongé, de pression subie. Après la pression, c’est donc la dépression.

Rien de très étonnant : sur le long terme, la tension nerveuse use l’organisme. Comme une corde trop tendue, il ne peut pas résister éternellement, et finit parfois par casser : c’est l’épisode dépressif, plus ou moins long.

En fait on pourrait voir la dépression comme un mécanisme qui permet de faire baisser la pression, justement. Trop de pression = on se roule en boule dans un coin = moins de pression.
C’est un peu drastique. C’est pour ça qu’en prévention de la dépression, les conseils tournent entre autres autour des moyens de faire baisser la pression, par d’autres moyens que la dépression.

Il s’agit de mettre en place d’autres mécanismes qui vous permettent de faire baisser la pression avant que la dépression ne le fasse à votre place : se reposer, méditer, faire du yoga ou d’autres sports, respirer…
Ou mettre la tête sous l’eau, comme nous l’apprend Léo Grasset dans sa vidéo sur l’apnée.

On peut aussi le voir autrement : je me disais que l’absence de pression pouvait bien amener à la dépression.
Absence de pression sur quelqu’un, c’est-à-dire que rien dans l’environnement ou la personnalité de cet individu ne le pousse à l’action, ne le motive à bouger, ou à évoluer. On parle d’une personne isolée socialement, qui n’a pas de passion ou même de passe-temps vraiment motivant, et dont l’existence même ne semble avoir aucun sens. C’est un specimen assez extrême (ou peut-être pas après tout. Si vous vous reconnaissez dans cette description, il est peut-être temps de consulter un psy?)

Vous allez me dire que la dépression peut elle-même entraîner la désocialisation, l’absence d’énergie et de motivation, certes. C’est juste pour le voir d’une autre manière, sous un autre angle.
L’absence de pression, cette sensation de flottement, ça peut être une très bonne chose quand c’est ce qu’on recherche, et puis quand ce n’est pas permanent j’imagine. Mais tout le temps, j’aurais tendance à penser que ça peut être inquiétant, douloureux, et que la personne peut se sentir perdue.

Du coup ce qui pourrait être pertinent, c’est un peu de pression, disons la juste dose, sans jamais qu’il y en ait trop, ni plus du tout. Osciller à des niveaux de pression entre faibles et moyens, et ne rester que très peu dans les extrêmes : zéro pression ou trop de pression, seulement quand c’est pas trop longtemps.
Il faut donc apprendre à la fois à faire redescendre la pression quand elle est trop élevée, mais aussi entretenir un circuit vertueux où on retrouve des choses qui nous motivent quand on en manque, et qui nous permet de gérer la pression que cela implique pour qu’elle reste faible et tout à fait acceptable. Probablement en posant des limites pour justement pouvoir accepter cette pression, en gardant en tête qu’on n’en acceptera pas plus, et surtout pas trop.

Quand on est sous pression, on a tendance à négliger son alimentation. Et puis l’anxiété pousse à rechercher dans l’alcool ou les drogues un effet calmant ou euphorisant. À la longue, le risque de dépendance est réel. Pour mettre en place des mécanismes de gestion de la pression différents, il faut réussir à ne pas aller dans la facilité à la moindre pression.
Il s’agit en fait d’apprendre à prendre soin de soi même en cas de pression. Dans les périodes de grand stress, arriver à décrocher quotidiennement et à bien se reposer. Même quand on a trop de travail à faire pour la journée, arriver à prendre le temps de bien manger (le cerveau est plus efficace quand il est correctement alimenté). Quand on ressent trop de pression dans une relation, éviter l’auto-sabotage.

A l’inverse, comment est-ce qu’on retrouve un élan, quand on se sent complètement vide? En l’absence de pression, comment retrouver la bonne dose de pression? On a déjà un peu parlé des limites, et aussi de se connaître soi-même : je ne vais pas refaire ces discussions-là.
Pour moi, faire des listes de choses que j’aime ou que j’ai envie de faire, ça marche bien. Quand j’ai trop de pression, je note dans mes listes pour me décharger, et quand j’ai de la place, je viens piocher dedans des idées de nouveaux projets dans lesquels me lancer.

Il faut vraiment trouver ce qui va marcher pour vous. Peut-être qu’une image inspirante en face de votre lit, qui vous dit « va faire des choses dans le monde, fais des choses pour toi, c’est chouette et tu es au top », ou un petit rappel sur le téléphone, pourra vous ramener dans l’action dans les périodes de basse pression. Peut-être que c’est un rendez-vous régulier avec un psy qui aidera, ou bien peut-être que ce sont vos proches qui tiennent ce rôle de rappel à la vie et au monde.
Dans tous les cas, ça me semble aussi essentiel de savoir faire baisser la pression, que de savoir la faire remonter avec douceur et gentillesse envers soi.

Et vous, comment vous faites, pour gérer votre pression?

Transport en commun

Si tu sais méditer, observer et connaître
Sans jamais devenir sceptique ou destructeur,
Rêver, mais sans laisser le rêve être ton maître,
Penser sans n’être qu’un penseur

Si : Tu seras un homme, mon fils (Rudyard Kipling)

Ca m’avait manqué, les transports en commun.
Avant d’habiter à la campagne, je prenais le bus tous les jours. Je suis malade dans les transports, alors le bus, le train, ce sont des occasions de me poser, penser, dormir, rêver, toutes choses que j’aime faire, et que j’aime faire souvent.

C’est vrai que conduire une voiture, ça va plus vite. Alors si on calcule, on prend sa voiture. Mais parfois la voiture n’est pas dispo, ou alors on se rappelle que c’est compliqué de se garer en ville, et on prend plus de temps, on fait autrement. Et c’est bien.

Ca fait du bien de changer de rythme. Je ne veux pas dire de ralentir tout le temps, ou de s’habituer à un autre rythme : je pense que ce qui fait du bien, c’est le changement. Dans une vie rapide, de ralentir par moments. Dans une vie calme, de prendre un passage un peu speed. De voir qu’on peut, qu’on en est capable, et que c’est bien aussi. Et puis de retrouver des choses qu’on trouve rarement.

En ce moment je ne manque pas de sommeil (rapport au fait que je dorme souvent seule, je crois), du coup je profite vraiment de ces moments de transport, où je ne conduis pas. Je voyage seule, je ne papote pas avec quelqu’un, je ne mets pas ma musique préférée : je me plonge à l’intérieur de moi-même. Le paysage qui défile, je connais peu de décors qui invitent autant à la méditation et à l’introspection. Essayez, vous verrez : la mémoire est stimulée par tout un tas de petits détails, la pensée est libérée de toute contrainte et part dans tous les sens. Pour moi c’est le pied.

Ces moments posés et introspectifs, c’est difficile de les trouver dans le quotidien, où on a tendance à meubler chaque instant avec une activité, un truc à faire ou à mettre dans son calendrier (je ne suis pas la dernière à faire ça). Toute cette activité c’est très bien, mais il faut aussi trouver ces moments de calme pour que le cerveau puisse s’étirer, souffler et gambader. Loin des écrans, loin des gens, loin des soucis du quotidien, c’est le moment où je me dis que quand même, je me sens bien. Ca me parait presque obscène de dire ça, mais oui, je suis heureuse.

Dans le tourbillon de la vie, parfois il y a des doutes, mais quand je m’en extrais, quand je me pose hors de chez moi, que je regarde la campagne, et que je pense à ma vie, celle que je vais retrouver dans une heure, quand j’y pense de loin, loin du stress, du rush, des trucs à faire, alors je trouve cette vision d’ensemble. C’est dans ce moment que je sais vraiment si je me débrouille bien, si la direction est bonne. C’est ce recul qui me permet de réaliser mon état émotionnel global, mon bonheur. Et c’est dans cette connaissance que je puise ma confiance et mon énergie.

Et vous, comment est-ce que vous prenez du recul sur votre vie?

Introspection

On ne sait jamais où sont les autres… On sait à peine où l’on est soi-même, ici-bas.

J’ai fait des billets tournés vers chacun de mes amours : il ne reste qu’à en faire un tourné vers moi, cette fois-ci.

Les capacités d’introspection sont souvent citées comme des éléments essentiels dans le polyamour. En fait, c’est vrai aussi dans toutes les autres formes de relations, mais aussi plus largement pour poursuivre son propre bonheur. Si chacun cultive sa connaissance de soi, de ses limites, besoins et envies, cela permet de construire des relations satisfaisantes pour tout le monde.
Vous êtes quand même le mieux placé pour savoir ce que vous voulez ou ne voulez pas faire. Si quelqu’un d’autre vous connait mieux que vous-même, ce n’est pas très bon signe! Sans compter que vous êtes alors dépendant de cette personne pour prendre les bonnes décisions pour vous…

Si vous n’êtes pas très aguerri en matière d’introspection, vous vous demandez peut-être comment au juste on est censé faire pour apprendre à se connaître soi-même.
Il y a de nombreuses manières d’aborder le sujet. Globalement, il s’agit de se poser des questions, et d’essayer d’y répondre.
J’ai trouvé ici une liste de 50 questions introspectives qui me semblent intéressantes, je les copie ci-dessous. Y répondre peut prendre du temps. Je vous conseille de noter au fur et à mesure vos réponses à toutes ces questions, et de faire ça en plusieurs sessions. Puis de revenir sur vos notes dans 6 mois, 1 an, pour voir si ça évolue, et si vous arrivez à répondre à plus de questions.

1. Quand je me réveille le matin, comment je veux me sentir ?

2. A quoi ressemblerait ma journée idéale du matin au soir ?

3. De quoi ai-je le plus besoin dans ma vie ?

4. De quoi ai-je besoin de me séparer ?

5. Quelles croyances me retiennent de vivre ma vie de rêve ?

6. Qu’est ce que le succès signifie pour moi ?

7. Quel est le message que j’ai envie de partager avec le monde ?

8. Qu’est ce qui m’apporte une joie authentique ?

9. Pour quoi suis-je la plus reconnaissante actuellement ?

10. Pour quoi est ce que je suis fière de moi même ?

11. De quoi est ce que j’ai besoin de guérir en ce moment ?

12. A quoi je voudrais que ma vie ressemble dans 3 ans ?

13. Qu’est ce qui me rend profondément vivante ?

14. Qu’est ce que j’aime le plus chez moi ?

15. Qu’est ce qui m’apporte le sentiment d’être comblée à tous les niveaux (corps et esprit) ?

16. Quelles sont les choses que je ne m’autorise pas mais qu’au fond j’adorerais essayer ?

17. Si je pouvais vivre une vie où je ne fais que ce que je veux, qu’est ce que je ferais ?

18. Qu’est ce que j’ai besoin de me pardonner et à qui dois-je pardonner pour avancer ?

19. Qu’est ce que je ferais si je n’étais pas aussi effrayée d’échouer ?

20. Quelle est ma toute première priorité aujourd’hui ? Quelle serait la première action à prendre en ce sens ?

21. Quel conseil je donnerais à ma petite fille intérieure ?

22. Qu’est ce que je voudrais apporter comme héritage, autrement dit, quelle trace je voudrais laisser de mon vivant ?

23. Comment je peux ajouter plus de fun dans ma vie de tous les jours ?

24. Qu’est ce qui me fait sentir puissante et en pleine lumière ?

25. Qu’est ce que je dois arrêter de faire pour vivre une vie plus riche et plus heureuse ?

26. Qu’est ce qui me fait peur, et quelle est ma plus grande peur ?

27. Quelle est la valeur que j’apporte dans ce monde et à ceux qui m’entourent ?

28. Comment je peux témoigner plus d’amour envers moi même ?

29. Quelle est la femme que je voulais devenir quand j’étais plus jeune ?

30. Qui sont les personnes qui m’inspirent le plus et pourquoi ?

31. Quelle est l’habitude que je voudrais le plus arrêter et celle que je voudrais le plus commencer ?

32. Quelles sont les qualités de la personne que j’admire le plus ?

33. Comment j’aime me relaxer ?

34. Quelle est la dernière fois où j’ai fait quelque chose qui me fait peur ?

35. Si la vie s’arrêtait aujourd’hui, qu’est ce que je regretterais de ne pas avoir fait ?

36. Si je pouvais apporter un seul changement dans ce monde, quel serait-il ?

37. Si la problématique de l’argent n’existait pas, qu’est ce que je ferais ?

38. Dans quelles parties de ma vie je suis la meilleure et dans quels domaines je me sens la plus mauvaise ?

39. Comment je veux que les gens se rappellent de moi ?

40. Qu’est ce que j’aimerais pouvoir faire plus souvent ?

41. Qu’est ce que j’aime faire sans voir passer les heures ?

42. Quelles sont les qualités que j’admire chez les autres ?

43. Quelles sont les qualités ou compétences que j’aimerais acquérir et pourquoi ?

44. Qui est ce que j’adorerais rencontrer, qu’est ce que je lui demanderais ?

45. A 90 ans, quels souvenirs j’aimerais avoir, quelles histoires j’aimerais raconter ?

46. Si je ne change absolument rien, comment je vois ma vie dans 5 ans ?

47. Qu’est ce qui me motive à donner le meilleur de moi même et qu’est ce qui au contraire me démotive ?

48. Qui peut m’aider et qui je peux aider ?

49. Qu’est ce que je fais avec plaisir à tel point que je pourrais même le faire gratuitement ?

50. Dans quelle direction je veux aller, et est-ce que la route que je prends actuellement est celle qui est supposée la plus probable de m’y conduire ?

Certains événements de la vie sont propices à se poser d’autres questions introspectives :

  • La recherche d’emploi, la rédaction de CV, les entretiens d’embauche, sont l’occasion de cerner ses qualités et ses défauts, ses domaines de compétence, son projet professionnel…
  • La rédaction de son profil pour des sites de rencontres pousse à se présenter de façon synthétique et pertinente ; selon les sites, les profils sont abordés sous différents points de vue et thématiques.
  • Certaines entreprises proposent à leurs employés de passer des tests de personnalité, pour mieux se comprendre et travailler en équipe.
  • Lors d’une dépression, on est invité à se poser plus particulièrement des questions sur son bonheur.
  • Lors d’une rupture ou d’un divorce, on voudra affiner ce qu’on recherche chez un partenaire, et ce qu’on ne veut surtout pas.

Vous trouverez 3 tests dans la page de Ressources qui peuvent être de bons outils pour apprendre à vous connaître, et pour alimenter la discussion avec vos proches ou vos partenaires :

En parler avec un psy ou avec des proches permettra de découvrir de nouvelles approches, de nouvelles questions. Certaines personnes de votre entourage détiennent aussi des informations prépondérantes :

  • Si vous vous posez des questions sur votre enfance, la construction de votre personnalité, et votre héritage social et génétique, vos parents pourront vous aider à y répondre.
  • Si vous séchez un peu pour énoncer vos principales qualités et défauts, vos professeurs préférés pourront vous donner quelques pistes.
  • Pour savoir comment les gens vivent leurs relations avec vous et quelle image vous renvoyez dans l’intimité, vous pouvez apprendre beaucoup en parlant avec vos amoureux et vos ex.

Enfin, de nombreux blogs et bouquins de développement personnel peuvent fournir de la matière à réflexion. Là je n’ai pas vraiment de liste détaillée : il existe tellement de ressources différentes! Vous pourrez facilement en trouver dans les domaines que vous voulez développer chez vous (que ce soit le courage, l’empathie, l’ambition, l’efficacité, l’énergie…)
Il s’agit surtout de garder l’esprit ouvert, et de ne pas vous limiter dans vos recherches!
Pour ma part, je dévore les bouquins sur le polyamour, mais j’ai aussi beaucoup lu sur la dépendance affective, la communication, la sorcellerie…

Mes recherches introspectives m’ont permis de dresser un certain nombre de listes au fil du temps. Je garde des notes de mes réponses et de mes résultats à des tests, à toutes fins utiles. C’est également une bonne chose à faire quand on cherche à travailler sa confiance en soi.
Pour vous donner un petit aperçu, voici quelques unes de mes notes :

  • Mes points forts : sang-froid, concentration, esprit d’analyse et de synthèse, autonomie, adaptabilité, lucidité, patience, endurance, organisation, loyauté, constance, productivité, compréhension et tolérance, qualités d’écoute, serviable
  • Mes points faibles : parfois froide ou sèche, pas sécurisante ou protectrice, pas super sportive, ni mince, ni super fun, pas ambitieuse pour un sou, manque de proactivité, de diplomatie
  • Mon animal totem : la belette
    Bouge vite, prend des décisions et agit dans le même souffle
    Fière, une énergie de guerrière
    Nemesis : obtenir la justice et la vengeance
    La petite taille n’empêche pas la réussite
    Profonde intuition intérieure
    Sans peur, tenace
    Rusée et furtive
    Guide vers l’au-delà
    Discernement
    Les yeux pour voir derrière les masques
    Le nez pour sentir la vérité
    Les oreilles pour entendre les secrets qu’on voudrait garder cachés
    Les belettes tuent les serpents
    Change de couleur, s’adapte
    Solitaire, préfère s’asseoir à part pour observer les gens
  • Mon étagère des besoins (vers le milieu de la page de Wait but why sur le choix d’une carrière) :
    Non négociable – Vivre avec des gens que j’aime
    Top priorité – Identité polyamoureuse ; Vérité
    Important de ne pas complètement rater – Tactile ; Séduction et sexe ; Avoir beaucoup de temps libre
  • Ce que j’aime :
    J’aime le beau et le bien
    J’aime construire et comprendre
    J’aime la force et le respect
    J’aime le courage et la volonté
    J’aime la nature et le vrai
    J’aime l’abstraction et le cheminement
    J’aime l’empathie et l’amour
  • Ce que mes amoureux aiment le plus chez moi :
    mon énergie de sorcière ; je suis sexy, solaire, inspirante
    mon esprit curieux et ouvert, ma manière naturellement ludique et ouverte d’aborder le sexe
    la complicité, la confiance qu’on partage
    la fascination curieuse que j’inspire
    je suis provocatrice, et catalyseur dans la vie de certaines personnes et dans leur relation aux autres
    je donne de l’énergie
    mon art de poser des questions qui prennent les gens au dépourvu
    mon engouement, l’énergie que je suis parfois capable de mettre dans des projets, dans des relations, qui vont au-delà de ce que la plupart des gens sont capables de donner
    ma façon simple d’aborder les choses, qui parfois simplifie grandement la vie des autres
    ma capacité à faire fi des qu’en-dira-t-on
  • En note : mes plus grandes qualités ont souvent un revers de médaille 🙂
  • Je ne vais pas tout mettre ici, mais j’ai aussi dans mes notes…
    La liste des choses que j’aime faire
    La liste des choses que j’aimerais faire prochainement, seule ou avec d’autres (et dans ce cas avec qui)
    La liste des films que j’aimerais voir, à l’occasion
    La liste des bouquins que j’aimerais lire (en plus de ceux qui s’empilent sur ma table de chevet)
    La liste des endroits où j’aimerais aller (faire du tourisme)
    La liste des textes que je veux écrire
    La liste des gens qui forment mon entourage proche et moins proche (parents, amis, famille)
    La liste de mes films, séries, bouquins, mangas, BD, musiques, jeux vidéo, chaînes youtube et blogs préférés
    La liste des films que je déteste le plus 😀
    La liste de mes surnoms, pseudos, et d’autres noms que je pourrais utiliser comme surnoms ou pseudos
    La liste de ce dont je suis le plus fière
    La liste des sites auxquels j’ai participé
    La liste de mes passions
    La liste des événements qui ont donné naissance à mes passions
    La liste de tout ce qui m’est arrivé d’important depuis ma naissance autant que je me souvienne, et aussi de ce qui s’est passé avant et qui a participé à me construire (c’est une longue liste)

Voilà. Avec tout ça, si jamais j’ai une crise d’amnésie, je devrais pouvoir retrouver des morceaux 😀

Et vous, où vous en êtes de votre introspection?

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